À l’approche des fêtes, c’est toujours l’heure des bonnes nouvelles, un cancer, une tumeur, un convive de plus à noël.
Un espoir de moins à nourrir on va s’blotir sous nos sourires, vois flotter dans la soupière nos avant-derniers soupirs.
C’est le carême, le jeun, ya plus rien à bouffer, on s’ra bientôt tous dévorés par cette gangrène qui fourmille,
J’suis qu’un jeune, qui n’pense pas si il pourra nourrir sa famille mais assez vieux pour s’demander :
Qui va mourir cette année.